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Historique 1 : Du 13.9.11 au 20.6.12
LA PETITION
Le 13 septembre 2011, une pétition manifestant le mécontentement des Autorités et des villageois est transmise par la Mairie au Conseil d’Etat,
avec copie au DIME.
Le 16 novembre, M. Mark Müller, alors Président du Conseil d’Etat, répond sans entrer dans les faits et les détails réels, qu’il
est très étonné que la Commune s’offusque de cette réalisation, alors qu’elle a donné, au moment du dépôt de la demande d’autorisation de construire, un préavis favorable.
Notons
que cet avis est formulé sur la base du plan consulté au DU, lequel ne correspond pas à la réalisation.
LA
"COMMISSION MULLER"
M. Mark Müller suggère alors la création d’une commission de travail, constituée de représentants de l’Exécutif et du Législatif communal, de représentants
des Hermançois, des représentants du DIME, ceux qui ont élaboré et réalisé la totalité du chantier.
Elle se met alors en place, composée
de Mme Suzanne Tschopp adjointe, M. Christian Castro, président du Conseil municipal et président de la Commission de l’environnement, Mme Marianne Gfeller-Quitian et M. Alexandre Wisard, représentant le DIME. Trois à cinq
délégués du Groupe de travail de la passerelle sont associés à la commission dont un architecte, pour la partie technique.
TRAVAUX DE LA COMMISSION
Bien que plusieurs séances de travail aient eu lieu jusqu’au 5 avril 2012, la seule modification intervenue, en dehors des requêtes des pétitionnaires ... consiste à abaisser le portail
d’entrée de la passerelle du côté Suisse.
Les membres du Groupe de travail ont le sentiment que certaines des autorités communales, hors commission, considèrent « qu’après quelques mois les gens ne penseront plus à la passerelle et qu'il suffit d'attendre » !
Le dossier n'avançant
toujours pas, il est alors décidé de convoquer une séance à la mairie le 25 mai 2012.
Y participent : M. Pierre Tréand, l’un des deux propriétaires
de la passerelle accompagné de son avocat, Mme Suzanne Tschopp adjointe, Mme Marianne Gfeller-Quitian du DIME et l'architecte du Groupe de travail.
Ce dernier a fait de nombreuses recherches concernant les moyens d’améliorer l’apparence de la construction métallique. Il a envisagé maintes solutions à propos des barreaux, d’un cache-poutrelle, de cache-boulons de cache-brisures angulaires et quant à la manière de réduire l’impact visuel de l’escalier à angle droit du côté français. Il présente ses projets au propriétaire qui n’accepte en fin de compte que le modèle décrit ci-dessous figurant au procès-verbal de Mme Marianne Gfeller-Quitian :
Restaurant de Tougues
« M. Tréand donne son accord à une barrière avec des barreaux verticaux en forme de tube, de teinte grise thermolaquée
(telle que celle visible au restaurant de Tougues). »
« Il accepte également la pose d’une tôle métallique de la même
teinte, sur la dine, qui permettra d’améliorer l’esthétique de l’ouvrage »
« Il demande que ce choix soit validé
sans opposition par les pétitionnaires»
Cette dernière requête n’agrée pas leurs représentants.
M.Pierre Tréand qui avait déjà refusé la suppression de la passserelle s'oppose aussi formellement à son déplacement : (voir « Déplacer l'ouvrage ?)
« les options proposées ne permettant pas de lui garantir à long
terme l’accès à sa passerelle (pérennité de présence du parking) », précise la représentante du DIME dans le Procès-verbal.
Une nouvelle séance de travail de la Commission est alors prévue pour le 7 juin 2012. Elle permet de faire le point sur tous les problèmes en cours. On y envisage d’écrire
aux Consorts Tréand.
Ce sera la dernière séance de la "Commission Müller".