Hermance-passerelle

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La Passerelle et son usage abusif

Historique 8 : Dès  Juillet 2021

Nous voici en juillet 2021.

Une année encore s’est presque  écoulée depuis les dernières informations données sur le site, en juin puis octobre 2020.  Les Hermançois continuent de manifester leur intérêt vis-à-vis de cette affaire, puisque  le compteur du site ne cesse de grimper.

Actuellement et grâce à son aspect masqué, les habitants du village se sont accommodés de la présence de cette passerelle.

Ce qui reste préoccupant :
c’est l’usage abusif que s’attribuent certains, induisant des risques de dégradation du bâti, de sa végétation, et pouvant inquiéter la sécurité du village.

Il faut repartir de la fin d’année 2020, pour essayer d’expliquer rapidement mais correctement les différentes actions intervenues.

C’est à ce moment que le Groupe interpelle par divers courriers, les Autorités communales.

Il s’adresse aussi aux Tréand propriétaires de la passerelle privée, et  aux propriétaires de la parcelle privée sur la rue des Glerrets . Personne ne répond.

Les panneaux n’ont jamais été posés ni par les uns ni par les autres et la circulation interdite sur ce pont continue …

En matière de sécurité, la Commune contactée nous répond :  Vous comprendrez que, pas plus que les Douanes Suisses, nous ne pouvons intervenir sur des parcelles privées et que la gestion de la frontière (sous quelque forme qu’elle soit) n’est pas dans nos prérogatives.

En Mars 2021, le Groupe reformule un certain nombre de doléances auprès de la Mairie. Un échange de vive voix a lieu.

L’Adjoint en charge s’exprime en précisant que la Mairie
1/ n’écrira pas aux Douanes françaises, pas à la Police française, pas à la Police municipale de Chens.  Mais que par contre, elle est très intéressée par les réponses obtenues et qu’elle compte recevoir des copies des renseignements formulés, car le Groupe peut très bien écrire lui-même. Donc, obéissant et consciencieux, il s’adresse à ces trois entités.

Seule la Police municipale de Chens répond. Elle n’a aucun pouvoir pour intervenir …

2/  n’a pas écrit aux Tréand

3/ a pris contact avec les propriétaires de la parcelle de la Rue des Glerrets qui permet juste l’accès au portillon suisse de la passerelle. Ils acceptent de poser des panneaux d’interdiction de passer sur leur terrain. Rien n’a été entrepris.

Le 20 avril, le Groupe renvoie un courrier circonstancié, toujours à l’Adjoint en charge, qui répond  de vive voix, à la fin d’un Conseil municipal.  Il explique :

 . qu’il a rencontré les autorités chensinoises

. que cette commune, jusqu’alors réticente face à la situation du terrain Tréand (qui s’appelle la Carnaferie sur le cadastre suisse et les Tartues sur le cadastre français) … envisage maintenant de l’acquérir.

. que Mme Le Maire de Chens a indiqué qu’elle et son Conseil désirent créer une zone piétonne pour promeneurs, permettant ainsi de déambuler non seulement sur les bords du lac mais aussi au long de la rivière, côté France, pour retourner au Pont neuf en sortant sur la route départementale 25.

 La population a depuis longtemps en France le droit de passer tout au long du lac et peut-être des rivières, sur des propriétés privées, ce qui n’est pas du tout en usage dans le Canton de Genève.

Mme Le Maire de Chens toujours, doit savoir que depuis dix ans, le Groupe représentant les villageois qui se sont révoltés contre le tas de ferraille inélégant, ne cesse de veiller  sur la verdure l’environnant pour  cacher l’inacceptable construction et par ailleurs, surveille  de près le passage entre les deux Nations.

 Il faut se souvenir que c’est l’Etat de Genève, aux frais des contribuables suisses,  qui a  construit cette traversée privée,  avec des portails fermés à clef pour empêcher tout passage clandestin.

 Voilà que le mois dernier, le Conseil municipal de la Commune de Chens sur Léman a voté l’achat de la parcelle Tréand.

Est reproduit ci-après un extrait du PV officiel  lu en ligne  de la séance du 14 juin 2021

L’extrait de texte ci-dessus ne donne aucune indication précisant si la passerelle fait partie de l’achat.

Détail de la servitude de marchepied en France (terme utilisé dans le PV ci-dessus)

 C’est le moment de se souvenir de plusieurs points concernant la passerelle :
  1/ Elle est traversée par la frontière franco-suisse et a forcément été créée sur les deux Nations qui se partagent la rivière, un pilier sur la France, un sur la Suisse. Elle n’est donc française que jusqu’à la limite pointillée sur tous les plans officiels. C’est une passerelle-frontière.

  2/ Elle n’a jamais été mise en place pour que l’on accède facilement au village d’Hermance, mais a été mise à disposition d’un seul propriétaire, et à l’usage de lui seul.

A l’époque où ce pont lui a été offert gracieusement, par la Suisse, selon de lointaines conventions signées par la Mairie, il possédait une maison au Chemin des Glerrets à Hermance et un terrain sur la Commune de Chens, ce qui justifiait l’usage de sa passerelle.
Le premier bien est vendu depuis longtemps à un privé, le second va l’être à une commune.
Il n’y a donc plus aucune raison légitime d’autoriser ce passage.

Actuellement les vacances d’été freinent un peu les actions des deux Mairies  qui certainement vont reprendre leur activité totale début septembre.

C’est à ce moment-là que le Conseil municipal d’Hermance devra absolument intervenir afin que ne s’instaure pas une circulation telle qu’on l’a connue au printemps dernier.

Il y avait tant de gens sur le pont et dans tous les sens, qu’on aurait dit Le Rialto et ses touristes … Les proches voisins de la Rue des Glerrets se sont inquiétés de ce trafic et se sont exprimés véhémentement !

Pour l’instant le Groupe doit attendre la rentrée.


Février 2022.

Le vandalisme s’installe aussi à Hermance !  La passerelle n’échappe pas hélas à de furieux et étranges assauts.
Les photos le montrent

Pourquoi fait-elle l’objet de dégradations si violentes, sans doute plus particulièrement la nuit.

On peut supposer légitimement que c’est probablement pour permettre un passage rapide, ni vu ni connu

Par ailleurs, on peut aussi imaginer, puisqu’il s’agit d’une propriété privée, que notre Conseil municipal ne signale pas ce genre de graves déprédations à la Police.

Si tel est effectivement le cas, cette absence de communication protégeant le village, fausse d’autant les statistiques assez réjouissantes annoncées par Mme Le Maire, lors du dernier Conseil.

Nous savons qu’il a été depuis très longtemps, demandé à nos Autorités, d’installer dans cette zone, un poteau d’éclairage public, ce qui a été récemment refusé.

Pourtant, pendant la nuit, il aurait une triple utilité
. voir clair d’abord, ce qui est logique
. ne pas craindre de circuler à pied dans cette zone sombre et déserte
. enfin freiner les élans de ceux qui s’acharnent à casser et détériorer, en toute liberté, précisément parce que ce n’est pas éclairé

Actuellement il est bien facile de constater que c’est malheureusement et seulement au passage d’un véhicule équipé de phares, que cette fraction du village, n’est que très temporairement protégée …

 Tous les essais de non-éclairage total la nuit, par mesure d’économie ou par écologie, sont des échecs, le climat d’insécurité étant exprimé par les habitants des villages où l’expérience a été menée.

 Il faut quand même se souvenir que toutes les installations d’éclairage public ont été créées justement pour empêcher au maximum, les agressions, les déprédations, les cambriolages et pour apporter un confort logique et une meilleure sécurité aux populations.


Mai 2022.

. Selon les termes de la conversation intervenue entre Pascal Renaud Adjoint au Maire d’Hermance et une de nos représentantes, nous sommes à même de résumer ici les éléments suivants  qui ont été donnés à cette dernière :

. La Commune de Chens sur Léman a signé l’acte d’achat du terrain dit Tréand, assorti de la passerelle

. La passerelle restera en place

. Des entretiens ont eu lieu entre les 2 Communes concernées et Mme Le Maire de Chens sur Léman voudrait supprimer les deux portails afin que la commune qu’elle dirige,  puisse créer une grande promenade de France en Suisse et vice versa …

. La Commune d’Hermance  s’est opposée à ce principe, d’autant que le terrain sur lequel repose le portail suisse est  privé et sur territoire hermançois.

. Dans un autre ordre d’idées, la passerelle envisagée pour doubler le Pont de la Douane, dangereux pour les piétons, fera l’objet d’une nouvelle  construction émanant de l’Etat genevois.

Tout ceci entraîne les remarques suivantes :

Tout d’abord concernant le terrain
. Ce terrain français,  ex-Tréand, dénommé Tartues en France et Carnaferie en Suisse était privé jusqu’alors et deviendra probablement terrain français public.
. Sur la passerelle passe la ligne-frontière entre les deux pays, à un endroit précis

. La Commune de Chens sur Léman doit aussi être consciente qu’elle porte désormais la charge d’entretenir correctement ce terrain destiné à évacuer les eaux violentes des crues qui balaient tout leur passage.
Cet entretien est à sa seule charge financière.

La non-observation des normes établies, deviendrait son entière responsabilité quant aux dommages subis par les demeures hermançoises de la Rue des Glerrets et par les locataires du terrain de camping communal situé à l’embouchure de la rivière.


Nous avons en effet consulté le PLU du Bas Chablais, approuvé le 25 février 2020, dont Chens fait partie en zone N.  Il faut examiner soigneusement les pages 561 et suivantes  Zones naturelles et forestières, extrêmement précises quant à l’usage de ces parcelles.

. Il serait bon que nos Autorités communales rappellent tout ceci lors des échanges avec Mme Le Maire de Chens.

En effet, rien n’est plus assuré depuis longtemps et devrait pourtant comprendre :
. Le fauchage régulier
. L’enlèvement des troncs d’arbres  tombés au sol ou déposés par les crues
. L’arrachage des plantes nocives, invasives, allergènes
. Le faucardage
. La taille des roseaux sur les bords français de la rivière. Ils ont tellement prospéré en épaisseur que la rivière n’a plus qu’un tout petit lit …

Concernant ensuite la passerelle
. Si elle est maintenue et que la France la considère comme sa propriété, elle doit également l’entretenir au cas où des piétons s’aventureraient dessus.
. Depuis dix ans qu’elle existe, le propriétaire Pierre Tréand n’a jamais  engagé le moindre centime pour qu’elle demeure en bon état, ce qui n’est effectivement plus son cas aujourd’hui.
. La passerelle n’a pas d’issue légale sur Suisse, puisque sa sortie débouche sur un terrain privé qui n’est donc pas communal.

Concernant le parcours promenade
. Il compliquerait très sérieusement les activités des douanes.
. Nous avons rappelé à plusieurs reprises que jusqu’à maintenant la passerelle bloquée par des portails côté Suisse et côté France,  a été très souvent vandalisée
. Le passage entre les deux nations est totalement abusif, de jour et surtout de nuit.
. Le vandalisme des portails n’est certainement pas dû au comportement d’aimables promeneurs !
. A cet instant, il faut rappeler le résultat récent du vote fédéral du 16 mai 2022, appelé Frontex, qui indique clairement
. que les Hermançois   à 74,44%
. que la Suisse             à 71,48%
souhaitent le renforcement de la surveillance des frontières, plutôt que de voir s’ouvrir de nouveaux passages ! 
. Nous pouvons également indiquer qu’il n’est pas dans les prérogatives de la Commune de Chens de faciliter, par la passerelle,  l’arrivée de gens venus de France dans notre village suisse, car elle doit normalement gérer ses problèmes communaux jusqu’à l’endroit de la passerelle où cesse la France et où commence la Suisse.

. La Commune de Chens, qui a fait de nombreuses recherches infructueuses quant à l’histoire de la passerelle – a dit Pascal Renaud – doit avoir désormais compris le refus officiel des Autorités hermançoises, de permettre l’accès au village qu’elles représentent.
L’Adjoint d’Hermance nous a aussi indiqué avoir donné les références du site à la Mairie de Chens pour qu’elle soit au courant de tout. https://www.passerelle-hermance.ch

24 mai 2022

Le Groupe de travail de la passerelle s'adresse à l’Etat de Genève, en la personne d’Alexandre Wisard, responsable des travaux de renaturation de l’Hermance.

En effet, par un texte très explicite, il lui est demandé de porter son attention sur une situation inquiétante :

« Le terrain français est dans un état lamentable, plus jamais fauché, les troncs d’arbres charriés par le courant plus jamais enlevés car le Symasol (organisme français) qui devait gérer l’entretien a interrompu ses interventions. C’est un immense roncier …

De plus les roseaux jamais maîtrisés ont pris une ampleur telle que le lit de la rivière est devenu très modeste …

L’ensemble de la renaturation n’est plus vraiment pimpant et les rives s’effritent alors que des arbres vivent, façon palétuviers, en finissant dans l’eau …

Le Groupe de travail espère que vous aurez à cœur de consulter le site et que vous pourrez prendre les contacts qui s’imposent …


Il y va en effet de la sécurisation des maisons d’Hermance, Rue des Glerrets et bien entendu de celle du camping situé à l’embouchure de la rivière …

 

Il ne faut pas se mettre à traiter les problèmes quand les catastrophes sont arrivées. »

25 mai 2022  
Alexandre Wisard sans doute inquiet de la situation, a répondu de suite :

 « Pour l’entretien de la rive droite de l’Hermance, je vais prendre contact avec mes collègues de Thonon-Agglo, dont c’est la responsabilité.

Je vous tiens au courant dès que j’ai plus d’infos … 

10 novembre 2022

Presque six mois après,

. Alexandre Wisard n’a jamais redonné de nouvelles.

.Thonon-Agglo n’est jamais revenu exécuter son contrat

Ainsi le roncier est plus énorme et plus touffu que jamais et le reste des lieux est dans un état plus que lamentable

Tout cela, au fond, ne concerne pas vraiment Hermance, qui n’a la charge de rien,

SAUF SI L’EAU DE LA RIVIERE NE POUVAIT SOUDAIN PLUS S’ECHAPPER ET ARRIVAIT DIRECTEMENT DANS LA RUE DES GLERRETS EN DETERIORANT TOUT SUR SON PASSAGE.

La renaturation a été faite pour lutter contre ce genre de catastrophes. 

Donc le danger demeure !

26 septembre 2024

Sensiblement deux ans ont passé sans quoi que ce soit de spectaculaire ne soit vraiment venu améliorer la situation, et ce malgré notre vigilance, hélas surtout visuelle.

 

Si l'on se réfère au Procès-verbal No 33 de la séance du 21 mai 2024 du Conseil municipal d'Hermance, on peut lire :


Passerelle reliant Hermance et Chens sur Léman

 

Une passerelle devrait être aménagée à côté du pont pour les piétons et les vélos.

Une étude doit être effectuée, estimée à 120.000 francs.

 

La Commune ne trouve pas logique qu'elle doive participer pour moitié à cette étude, alors que le projet est cantonal.

 

M. Maudet qui était sur place, a constaté l'étroitesse du pont, ce qui est dangereux aussi pour les jeunes se rendant au tennis et au rugby.

 

Chens sur Léman n'est pas opposé à ce que la Commune déplace la passerelle située à côté de l'école, pour la mettre à côté du pont.

 

Le Canton nommera prochainement un chef de projet qui s'occupera de la faisabilité dudit projet.

 

Mme Bruchez précise que des conventions devront être signées, entre Chens, Hermance et le Canton, pour régler diverses questions, comme l'entretien de la future passerelle.


Il doit être précisé encore une fois, que le terrain français de la Carnaferie a été vendu par les fils Tréand à la Commune de Chens, la passerelle faisant partie du lot.

 

Il doit aussi être dit que la parcelle (Rue des Glerrets, et commandant le portail suisse de la passerelle) Tréand, puis Gilliand/Horovitz, puis Panetti, depuis la dernière vente de biens, a été offerte gracieusement par la propriétaire, il y a plus d'un an déjà, à la Commune d'Hermance.

 

La signature chez le notaire est sans doute imminente.


Lors de nos conversations avec Pascal Renaud, Adjoint au Maire de la Commune, il nous a relaté les faits suivants :

  • Après de multiples entretiens, il a été décidé que la fameuse moitié des frais d'étude ne serait pas à la charge de la Commune d'Hermance
  • La récente coupe des herbes folles et des plantes sur le terrain français n'est pas intervenue pour faciliter le travail du chef de projet commis par l'Etat de Genève (cité dans le PV ci-dessus).

 

Nous revenons ici sur cette fameuse récente coupe inopinée !

Nous reprécisons, selon les explications données par Alexandre Wisard, responsable de tous les travaux de renaturation de la rivière, désormais à la retraite, que c'est le service français Thonon-Agglo, dans le cadre des conventions de base signées à propos de cette rivière transfrontalière, qui doit, chaque année, entretenir en tondant, l'ensemble des terrains des rives françaises.

 

Il s'agit de permettre, sans barrage aucun, aux eaux d'arriver très vite au lac.

 

Au début, tout beau tout neuf, les machines à fil (au moins trois) arrivaient et en un rien de temps, les surfaces étaient lisses.

Ainsi les eaux de crues, d'orages, de fonte des neiges, parfois très violentes, pouvaient s'écouler rapidement, afin qu'en particulier le parking de l'école, la Rue des Glerrets dans sa partie basse et le terrain de camping, ne soient pas endommagés.

 

C'était le but de la renaturation.

 

Il y avait aussi la visite de spécialistes qui arrachaient les plantes dites invasives

 

Tout s'est arrêté, environ depuis quatre ans, et personne n'est capable de dire pour quelle raison ...

 

Cet été, au moment où la population s'y attendait le moins, sans doute le service Thonon Agglo - devenu responsable total en cas de catastrophe - est arrivé et a ratiboisé tout ce qui avait poussé en complète liberté depuis bien longtemps.

 

A la grande surprise de chacun, ce service a accompli sa tâche en couchant les roseaux, en tondant fortement à certains endroits, faiblement à d'autres, en envoyant beaucoup de végétaux dans le faible courant de la rivière.

 

Juste après la passerelle le travail s'est arrêté et l'on a pu ainsi comparer le niveau zéro et la hauteur du mur de ronces !


Car le bas du terrain n'a pas été traité.

Est-ce que la raison de cet entretien incomplet est due

  • à la protection de la biodiversité   
  • à un travail volontairement non terminé

Nous ne le savons pas !

 

Certains Hermançois se sont révoltés contre cette coupe qu'ils ont considérée comme intempestive, alors qu'elle est obligatoire chaque année. Qu'ils le sachent et s'en souviennent.

 

Ils ont envisagé que des castors aient pu périr dans cette aventure. Mais ils n'ont pas mis les photos le prouvant sur le site Hermance l'Inofficiel.


On peut naturellement admettre leur sensibilité vis à vis des animaux, Mais ils doivent se souvenir que la renaturation a été faite à grands frais, pour protéger des maisons, des habitants, des campeurs.

 

Et si d'aventure cela a facilité l'arrivée de certaines espèces animales, ça a été tout bénéfice !

 

Nous continuons notre mission et d'ores et déjà disons


MERCI A TOUS CEUX QUI SUIVENT CETTE AFFAIRE DE PRÈS